Page:Porto-Riche - Bonheur manqué, 1889.djvu/66

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Mon cœur resta sans jalousie,
Et pour apaiser ma douleur
Dieu m’envoya la Poésie ;
Mais rien n’efface un tel malheur.

Quand on a ce regret dans l’âme,
Le front jamais n’est triomphant,
Et les baisers dus à l’enfant,
L’homme aujourd’hui vous les réclame.