Fondu dans le Nepvou, d’où la terre de Crénan a passé successivement aux Rocquefort, Urvoy et Perrien.
Seigneurie successivement possédée par les maisons de Kostrenen, de Guémadeux et du Quengo et érigée en marquisat en 1779, en faveur d’Anne-Louis du Quengo, brigadier d’infanterie, voyez Quengo.
D’or à un créquier de gueules. Devise : Nul ne s’y frotte.
Jean, sire de Créquy et de Canaples, épouse en 1525 Marie d’Acigné, dame de Boisjoly, dont : Antoine, évêque de Nantes, puis d’Amiens, et cardinal, † 1574 ; Antoine oncle du précédent lui succéda sur le siège de Nantes en 1561 ; Charles, maréchal de France, tué d’un coup de canon au siège de Brème en 1638 ; François, maréchal et général des galères de France, † 1687. (Famille éteinte en 1801.)
Anc. ext., réf. 1008, huit gén. et maint. à l'intend. en 1697; réf. et montres de 1420 à 1543, par. d’Elven et Ploeren, év. de Vannes, Lannion, Brélévenez, Servel et Trévou-Tréguignec, év. de Tréguier.
Fascé denché d’or et d’azur de six pièces ; aliàs : losungé d’or et d’azur, pour la branche de Pencrec’h.
Jean, contrôleur de l’hôtel du duc Jean V en 1409 ; Gilles, secrétaire du duc François II en 1461, épouse Marguerite le Du ; un page du Roi en 1738.
La branche de Tréhuélan fondue vers 1458 dans le Comte.
La branche du Modetz fondue au xviie siècle dans du Cleuz du Gage.
De gueules à une main fermée d’argent, accomp. de trois cygnes de même (Arm. 1696).
Jean, établi à Nantes en 1591, naturalisé en 1611 ; Paul, avocat à la Roche-Bernard en 1696.
D’azur au chevron d’or, accomp. de trois pommes de pin de même,
François, président aux Grands-Jours de Bretagne en 1538, puis président à mortier en 155», père de René, aussi président à mortier en 1570.
Une branche fondue en 1697 dans Contades ; une autre branche transplantée dans l’Orléanais, y maintenue en 1668.