La branche de Kervéguen fondue vers 1577 dans Goësbriand, puis en 1651 Kermenguy ; la branche de Penanec’h fondue vers 1603 dans Kerbouric. Cette famille et la précédente paraissent avoir une origine commune.
Anc. ext., réf. 1669, quatre gén., réf. et montres de 1463 à 1543, dite par., év. de Tréguier.
D’argent à trois fasces de gueules, accomp. de huit mouchetures d’hermines 2. 2. 2. 2 ; au chef cousu d’or, chargé de deux fleurs de lys de sable.
Prigent, vivant en 1543, épouse Catherine Stéphan.
Anc. ext., réf. 1669, neuf gén., réf. et montres de 1448 à 1536, par. de Guéhenno, év. de Vannes.
D’argent à trois quintefeuilles de sable. Devise : Iterum virescet.
Briant, vivant en 1448, épouse Eonette Moro, de la maison du Ilaut-Quilly ; Raoul, tué à la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier en 1488.
La branche ainée fondue au xvie siècle dans la Chesnaye.
Eon, célèbre sectaire, condamné par le concile de Reims à la prison perpétuelle, où il mourut en 1148, était de cette famille dont les possessions appartenaient en 1660 aux Geslin de Trémargal.
Anc. ext. réf. 1668, cinq gén., réf. de 1427 à 1513, par. de Saint-Médard-sur-Ille et Acigné, év. de Rennes.
D’argent au griffon de sable, armé et lampassé de gueules. Devise : Crains le tourbillon.
Pierre, témoin en 1093 d’une fondation d’André de Vitré au prieuré de Sainte-Croix de Vitré; Jean, croisé en 1248 (cab. Courtois) ; Perrot, écuyer dans une montre de 1383 ; Pierre, prête serment au duc entre les nobles de Rennes en 1437 ; Bonabes, vivant en 1500, épouse Louise de Pellineuc ; un page du Roi en 1773.