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Page:Potocki - Dix journées de la vie d’Alphonse Van-Worden, 1-3.djvu/188

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terre ; et me conduisant à un puits, il me dit : « Seigneur Alphonse, faites-moi la grâce de regarder dans ce puits, et de me dire ce que vous en pensez. »

Je lui répondis que ce puits ne me paroissoit en rien différent d’un autre.

— « Eh bien, reprit Zoto, c’est cependant l’entrée de mon palais. » — Ayant ainsi parlé, il mit la tête dans le puits et poussa un cri. Un moment après une lourde pierre, soutenue par des chaînes, s’abaissa à quelques pieds au-dessus de l’eau, et forma en quelque sorte un pont-levis. Parurent alors deux hommes armés qui parvinrent bientôt au haut du puits. Lorqu’ils furent dehors,