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parut que les lois de l’honneur m’obligeoient plus que jamais à passer par la Sierra-Moréna.

L’on sera peut-être surpris de me voir occupé de ma gloire, et si peu des événemens de la veille ; mais cette façon de penser étoit encore un effet de l’éducation que j’avois reçue, c’est ce que l’on verra par la suite de mon récit. Pour le moment, j’en reviens à celui de mon voyage.

J’étois fort curieux de savoir ce que les diables avoient fait de mon cheval, que j’avois laissé à la Venta-Quemuda ; et comme c’étoit d’ailleurs mon chemin, je me résolus à y passer. Il me fallut parcourir à pied toute la vallée de Los-Hermanos, et celle