Aller au contenu

Page:Pottier - Chants révolutionnaires - 1887.djvu/87

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Le peuple sent qu’il est trahi,
C’est trop aboyer à la lune.
L’Hôtel de Ville est envahi,
Paris, proclame ta Commune !