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et le souci d’attristants et d’humiliants devoirs, pensez à Paul, ce pauvre désenchanté !…

…Si à cette heure, Paul avait connu Sully Prud’homme, il aurait jeté ce cri de l’âme.

Ah ! si vous saviez comme on pleure
De vivre seul et sans foyer,
Quelque fois devant ma fenêtre
Vous passeriez.

Mais Paul ne connaissait pas même le nom du délicat auteur du « Vase brisé ».