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Page:Pougy - Idylle saphique, 1901.djvu/158

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IDYLLE SAPHIQUE

bien. N’as-tu pas peur de t’avilir en te traînant dans la boue qui m’entoure ?

— Laisse ! cette boue séchera, durcira au radieux soleil de mon fervent amour, ce sera d’elle-même que nous nous élèverons, Nhine, mon adorée.

— À jamais, alors, prononça Annhine !

— À toujours… répondit Flossie.