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Page:Pougy - Les sensations de Mlle de La Bringue, 1904.djvu/192

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LES SENSATIONS

Là je commençai à être un peu gênée.

Sans comprendre encore que je les devais plus à ma réputation qu’à la façon dont était fleuri mon panier et même à ma beauté, je m’étonnais beaucoup des yeux braqués sur moi.

Quelques coups de chapeau me firent plaisir dans cette foule.

Enfin, je passe le guichet et me voilà dans cette grande avenue de Longchamps.