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XIX

INTRIGUE, IDYLLE, PASTORALE


Le lendemain matin, je fus délicieusement éveillée par un agréable chant de flûte sauvage.

C’étaient des notes douces qui me pénétraient l’âme.

Montant avec l’aube, c’était une douceur infinie qui semblait s’irradier dans l’air.