Cette page a été validée par deux contributeurs.
DE SAINT GAUZELIN, TRENTE-DEUXIÈME
ÉVÊQUE DE TOUL, D’UN FAUX MÉNAGE
ET DE LA PAUTON.
ÉVÊQUE DE TOUL, D’UN FAUX MÉNAGE
ET DE LA PAUTON.
ES mouchoirs ayant été agités une dernière
fois, Paul ferme la fenêtre du
compartiment. Il dépose les valises dans le filet,
s’assied près de Suzon et maintenant ils regardent
tous deux la naine assise en face d’eux
et ils ne savent plus s’il faut rire ou se lamenter.
Car ils l’emmènent. Tout à l’heure, après
le déjeuner, Suzon a demandé :
— Veux-tu venir avec nous, à Paris ?
Et Marie s’était fait crier deux fois la chose dans l’oreille. Mais elle n’avait pas hésité. Elle était rentrée chez elle et revenait dix minutes plus tard avec un carton qui contenait son livre de prières, un dé, un bonnet tricoté et une paire de ciseaux.
Donc ils emmènent Marie… et ils ignorent toujours s’il faut rire ou se lamenter, et Paul