Page:Pouvourville - Le Tao de Laotseu, 1894.djvu/13

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


QUATRIÈME PAGE


La Voie est le terme, mais aussi le moyen.
Peut-être elle est sans fond ; c’est le fleuve où les dix mille êtres ont leur source.
[L’homme parfait] parle tranquille.
Il ouvre [détermine] le sort.
Il égalise la splendeur : il égalise les ténèbres [les immondices de l’eau.]
Il devient semblable à un fils pieux.
Moi, je ne sais pas celui seul dont il est fils.
C’est l’ancêtre [de l’image] du Maître.