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Page:Pradez - La Revanche du Passé, 1900.djvu/246

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grands sentiments, ce surcroît d’ennui tombait mal.

Pourtant Élisabeth était plus que jamais une alliée précieuse. Il fallait la ménager.

Il s’approcha d’elle souriant :

— Qu’est-ce qu’il faut donc dire pour t’apaiser, Élisabeth. Voyons, dis-le-moi toi-même. Dicte-moi ce que je dois dire.

En même temps, il essaya de l’attirer à lui. Elle le repoussa durement. Une montée de dégoût la suffoquait.

— Ah ! non, cria-t-elle, laisse-moi. Va-t’en, va-t’en !