Page:Privas - Chansons des enfants du peuple, 1905.djvu/24

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
8




I


Esclaves de ces chers tyrans
Que sont pour leurs bons vieux parents
Les petits et les grands enfants,
Grand’mères,
Vous n’avez pour ces entétés
Que des douceurs et des bontés
Palliant les sévérités
Des mères !


II



Pour qu’ils ne se meurtrissent pas
De vos bras débiles et las
Vous dirigez leurs premiers pas,
Grand’mères ;
Car malgré les ans incléments,
À tous vos nobles sentiments,
Vous ajoutez les dévouements
Des mères !