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Page:Privas - Chansons vécues, 1903.djvu/223

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Pierrot chante

 
Peu m’importe, ô ma déité,
Pourvu que ta douce clarté
Soit mon égide,
Et, qu’en toi, pour être emporté
Sur les vagues de la gaîté,
Je trouve un guide ;
Car, ô lune, ton vieux minois
Cache dans ses replis narquois
Une harmonie,
Celle des farces et des ris
Où tes yeux d’or font les soli
De l'ironie !


Publiée avec l'autorisation de M. C. JOUBERT, éditeur de musique, 25, rue d’Hauteville, Paris. Tous droits de traduction, de reproduction et d’exécution réservés pour tous pays. Prix du fascicule avec accompagnement de piano 3 francs.