tants ; elle veille à ce que tout se passe selon les lois de la justice et de l’honneur chevaleresque.
Au Crédit mobilier, par exemple, la commandite industrielle ;
Au ministère de l’Instruction publique de préparer, par l’éducation et les écoles de toutes spécialité et degré, l’émancipation du prolétariat.
Ce qui appartient à la Société de l’Exposition, c’est de pourvoir, par les facilités plus grandes et de moins en moins onéreuses de la circulation et de l’échange, au bas prix des produits, à leur amélioration ; partant à l’excitation de la concurrence, au développement du génie industriel ; finalement à l’augmentation du travail, du salaire et du bien-être.
Qu’elle facilite donc, tant qu’elle pourra, par ses avances de produits contre produits, de matières premières contre produits, de produits contre matières premières, le travail à l’ouvrier ; qu’elle aiguise son génie ; qu’elle encourage ses efforts ; qu’elle fasse valoir ses essais ; qu’elle organise même chaque année des concours ; qu’elle rassemble des comices ; qu’il y ait des distributions de médailles, de petites primes, des mentions honorables, etc. : toutes ces choses peuvent entrer dans les attributions de Ja Société.
Elles lui conviennent d’autant mieux, qu’après tout la Société, jugeant, non d’après l’opinion de ses administrateurs et experts, mais d’après le suffrage public, constaté par ses écritures, par l’importance des demandes et le chiffre des ventes, est ici l’organe de l’opinion du pays, et, pour ainsi dire, la voix la plus authentiquement exprimée du suffrage universel.
§ 6. — Avances et prêts de produits sur hypothèque.
De même que la Société de l’Exposition perpétuelle ne fait nulle concurrence à la Société de Crédit mobilier, dont