Page:Puyjalon - Récits du Labrador, 1894.djvu/16

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
15
RÉCITS DU LABRADOR

temps épouvantable, jouant sa vie pour venir à mon aide. Il m’avait trouvé rêvant et était reparti sans rien me dire du dévouement qui l’avait amené jusqu’à moi.

Quelquefois, je pense à lui, quand la neige tombe et que le vent plie la tige des arbres, et mes yeux deviennent humides !

Et vous, chers lecteurs, que dites-vous de mon curé du Labrador ?