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Page:Querlon Verrier - La Princesse a l aventure, 1904.djvu/57

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V. LA BOUILLIE AU RIZ


Le soleil était déja levé depuis longtemps quand la femme du marinier vint frapper à la porte de la soupente. Elle cria à Clarisse d’aller sur la berge pour conduire les mulets.

La petite fille s’habilla sans se presser. Elle monta sur le pont où le linge séchait sur la grande corde tendue du mat au toit vert de la cabine.

Elle sauta sur le chemin. Les deux mulets