Page:Quillard - Les Mimes d’Hérondas, 1900.djvu/15

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Franz Bücheler ; et Diels et Blass ; et en France, M. Dalmeyda, Ristelhuber, et l’abbé Ragon, auteurs de traductions intégrales ou partielles, M. Henri Weil et M. Théodore Reinach.

Ainsi revécurent par la collaboration d’un scribe antique et de philologues contemporains un poète, Hérondas, et plusieurs modèles très caractéristiques d’un genre littéraire, le mime, dont il restait bien, chez Théocrite, quelques admirables exemples, mais embellis par un élément de liante poésie et de pur lyrisme, étranger d’ordinaire à cette sorte de compositions.

Jusqu’à la publication du papyrus Kenyon, on ne connaissait guère d’Hé-