Page:Quillard - Les Mimes d’Hérondas, 1900.djvu/33

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plein d’indulgence pour elle et son commerce.

Peut-être Hérondas avait-il dessiné encore d’autres effigies charmantes, d’une grâce tendre et point apprêtée : la fortune maligne a mutilé le papyrus ; et le poète de Kôs n’émerge de l’ombre qu’à demi.

Après tant de savants hommes, mais selon une méthode un peu différente, on a tenté de transposer en français tout ce qui pouvait être sauvé de l’œuvre antique. Transposer ne signifie pas transformer et substituer par exemple l’argot moderne ou un proverbe d’aujourd’hui aux manières de dire employées par l’original. Quant aux péri-