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Page:Régnier - La Canne de jaspe, 1897.djvu/167

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elle s’affaissa doucement sur le parquet, inanimée, tandis que, dans la chambre solitaire, au-dessus des yeux clos de sa face pâle, les miroirs, en leurs cadres d’or, d’écaille et d’ébène, continuèrent à échanger entre eux l’illusoire aspect de leurs réciproques vacuités.