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LES ROSEAUX DE LA FLUTE

Et que, le soir, au coin de la forêt, dans l’ombre,
Tu t’endormes, non pas au pied du chêne sombre,
Mais sous le bouleau blanc et le blanc peuplier,
Et que, lorsqu’à l’autel ton genou doit plier,
Tu invoques, versant le cratère d’eau pure,
Non l’Hercule hardi, mais le subtil Mercure.