Page:Régnier - Les Médailles d’argile, 1903.djvu/88

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La Grèce dont le flot bat le mur et la porte
De notre Ville en deuil autour de qui j’entends
Tourner dans la poussière et hennir dans le vent
L’attelage fougueux des étalons farouches
Qui traînent par les pieds et le sang à la bouche
Victime lamentable et sans sépulcre encor,
Le cadavre saignant qui jadis fut Hector !