un peu la coupe des phrases, qui est monotone et rebutante dans l’original. L’énumération des vertus de l’homme de bien, et celle des vices du méchant, qui est beaucoup plus longue, n’y forment qu’une seule phrase, distribuée en membres réguliers de quatre ou cinq mots. La traduction littérale eût été insupportable en français, et l’exactitude eût été ici aussi fastidieuse qu’inutile.
Je n’ai joint à ma traduction aucune remarque grammaticale, parce que M. Molinier, l’une des personnes qui ont suivi mes leçons au Collège royal avec le plus de zèle et de succès, se propose de donner une édition du texte chinois, avec une traduction littérale, et tous les éclaircissemens nécessaires.
La petite préface qui précède le livre, et que j’ai cru devoir traduire, à cause de sa singularité, est extraite