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et sur-tout d’un des carreaux de verre, en attendant l’occasion favorable. Mais comment la trouver n’ayant plus de corde pour retenir le billet flottant ? Le jour paraissait à peine, et je jettais les yeux sur le carreau funeste, cause de la mort de l’infortuné Durand et de la chute de nos espérances, lorsqu’un objet mobile et noir me frappe contre les vitraux ; je m’approche et je distingue plusieurs hameçons de pêcheurs qui flottaient au bout d’une ligne. Je prends sur-le-champ mon parti ; j’écris trois billets, je les enveloppe dans des petites boîtes, comme le premier, je les lie les unes aux autres par des rubans flottans, et m’élance vers le soupirail… Quel coup de foudre ! la ligne remonte… Je m’arrachais les cheveux de douleur ; mais enfin la ligne redescendit. Je ne crois pas qu’il soit possible d’éprouver une pareille joye !