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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/382

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ce qu’il peut vous apprendre, car (nous dit-il en rougissant,) j’ai la honte, attendu mes malheurs et ton absence, de ne savoir pas lire. »


Le Juge ouvrit le billet du Cardinal, et y lut ces horreurs :


« Je suis content de vos derniers services. Vous toucherez, mon cher Paolo, deux cents sequins chez le Banquier Crusca. J’ai appris que vous aviez pour modèle, un jeune enfant Polonais, d’une beauté extraordinaire, orphelin et sans ressources : mon intention est de l’attacher à la musique du petit Conservatoire pour les premiers dessus. Il a neuf ans, le tems presse pour le faire opérer. Je vous enverrai le célèbre Taillandino pour cette cure délicate. Ayez soin de suivre le régime qu’il vous in-