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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/389

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» le brûleraient, que des apôtres de l’humanité, sous le prétexte de la décence en violent les premières lois ; pour fuir un sexe, mutilent l’autre, pour adorer un Dieu dénaturent son ouvrage, et osent placer devant lui en holocaustes, des milliers de victimes, dont chaque son est une plainte qui perce la nue et va provoquer la foudre… C’est le comble de la corruption et des absurdités humaines. »

» Ils conversèrent encore quelque tems avec feu. J’entendis bientôt que Paolo faisait sonner des bourses de sequins sur la table. Mon Maître se leva vivement, en disant : « vous ne me séduirez pas ; c’est une horreur, et j’en rendrai compte au Baron. » Paolo lui lança un regard terrible et le menaça d’un stilet qu’il avait à côté de lui. Mon