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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/121

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LA MAISONNETTE.

mère donnait tous ses soins ; aussi fallut-il à plus d’une reprise rajuster la coiffure, remettre en place un nœud de rubans, et repasser sous le fer une boucle de cheveux.

Enfin à dix heures tout fut terminé ; à onze on se mit en route, quelques minutes avant minuit, les jeunes gens et leur bonne mère entraient au presbytère.


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