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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/193

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IX.

UN VOL.

Justine regardait avec effroi les préparatifs que faisaient les brigands : les uns chargeaient des pistolets, d’autres s’assuraient que la pointe de leurs poignards n’était point émoussée ; puis quelques-uns mirent des