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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/233

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UN AUMÔNIER.

Il s’approcha de la jeune fille, lui prit la main, qu’il serra doucement, et il sortit en étouffant un soupir. Dès qu’il fut parti, Justine visita les trois pièces qui composaient le petit appartement où elle se trouvait si singulièrement installée ; elle y trouva d’assez abondantes provisions, et, après avoir pris quelque nourriture, elle se coucha, puis s’endormit profondément.


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