Aller au contenu

Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/30

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
16
JUSTINE.

vie ; car vivre sans jouir, ce n’est pas vivre.

… À propos, Joseph, tu diras au docteur qu’il n’est pas absolument indispensable que ma mère soit emportée par une attaque d’apoplexie à la fin du mois : j’ai gagné cinq cent mille francs aujourd’hui, et la succession peut se faire attendre encore.

Là-dessus le comte se mit au lit, et dormit jusqu’à midi du sommeil le plus paisible.


Séparateur