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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/311

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UNE DOUAIRIÈRE.

temps. Aussi, bien que madame d’Albimont eût fort désiré que son protégé fût moins timide, elle ne désespéra pas de parvenir à vaincre cette timidité, et Justine continua à être l’objet des plus tendres soins.


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