Aller au contenu

Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/315

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XV.

LES FORÇATS.

Déjà, depuis plusieurs jours, Justine habitait au château de la marquise d’Albimont, et sa contenance commençait à devenir fort embarrassée ; car la douairière avait encore l’imagination tellement vive que tous les pré-