Aller au contenu

Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/383

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XVIII.

LE COMTE ET LE BANDIT.

Plusieurs mois s’étaient écoulés ; non-seulement Georges avait été condamné ; mais un avis anonyme avait instruit la justice de la précédente condamnation dont il avait été frappé ; l’identité avait été constatée, et