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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/508

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IV.

IL ÉTAIT TEMPS.

L’hiver était venu ; la situation de Georges et de Justine était affreuse, ils ne possédaient plus rien. Justine n’osait chercher de l’ouvrage, Georges n’en pouvait trouver. Tout, jusqu’à leurs vêtemens, avait été vendu