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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/526

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V.

LES FAUSSAIRES

Pendant plusieurs mois Georges et Justine vécurent avec la plus stricte économie, car le produit du travail de l’orpheline était presque nul, et Valmer ne donnait que fort peu de leçons ; mais l’avenir se présentait à