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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/57

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III.

LE MAIRE ET LE CURÉ.

Déjà depuis long-temps le soleil éclairait l’horizon lorsque Justine s’éveilla elle regagna le grand chemin, et se remit à marcher rapidement, quoique ses pieds fussent meurtris et déjà presque nus, les