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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/629

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JUSTINE.

— En route donc !

Nous nous arrêtâmes à la prochaine auberge pour réparer nos forces, et après un ample déjeuner nous nous remîmes gaîment en route… Mais, mes enfans, il se fait tard ; à demain la suite ; bon soir.

Guibard était parti depuis un quart d’heure, et son assemblée l’écoutait encore ; il semblait à ces trois personnages qu’ils venaient d’assister à quelque scène fantastique, et leur sommeil se ressentit des émotions que le récit du vieux galérien leur avait fait éprouver.


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