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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/800

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LE SACRIFICE.

mon amour et la liberté de Georges Valmer.

L’orpheline baissa les yeux vers la terre ; il lui fut impossible de parler, et Albert s’approcha d’elle ; alors une sueur froide couvrit son visage, son cœur cessa presque de battre ; elle crut qu’elle allait mourir, et elle en bénissait l’Éternel ; elle s’évanouit… Georges devait être sauvé.......

 
 
 

Justine de Mellerand, victime du plus sublime dévouement, s’était vouée à l’opprobre pour sauver l’homme qu’elle aimait plus que la vie… Horreur… elle portait dans son sein...........

 
 

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