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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/822

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XX.

UNE GRÂCE.

Cependant Georges avait recouvré sa liberté ; grâce pleine et entière lui avait été accordée ; il revenait à Paris, ivre d’amour et de joie. Une chose cependant venait troubler de temps en temps son bonheur ; il ne