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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/99

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V.

LA MAISONNETTE.

Georges frappa d’une certaine façon à la porte de la chaumière, qui s’ouvrit presque aussitôt ; une femme âgée parut, et se jeta dans les bras du jeune homme en s’écriant :