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Page:Rabaut - Le vieux Cévenol, 1886.djvu/16

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préface

« Pour faire passer les exemplaires qu’ils placeront dans ce pays, il y a deux partis à prendre : l’un de demander aux libraires de Nimes la voie qu’on pourra suivre pour leur adresser les exemplaires, attendu qu’il n’y a point ici de chambre syndicale ; l’autre moyen, c’est de s’informer auprès des libraires de Lausanne, Neuchâtel, Yverdon, lesquels font ici de continuels envois. Je ne veux pas paraître ici, afin de n’être pas connu pour l’auteur.

« Un grand point, ou même l’unique, c’est de faire bon compte aux libraires à qui l’on vendra cet article. Il ne peut que se vendre 24 sols au particulier, et pour cet effet il ne doit pas revenir plus de 15 sols au libraire, tous frais faits.

« Je vous prie de m’en envoyer un exemplaire par la poste, divisé en trois paquets sous ces trois adresses : À M. Lavernhe aîné pour M. Denis ; à MM. Lapierre frères pour M. Brunet[1] ; à M. de Saint-Étienne, à la Fontaine.

  1. Denis et Brunet étaient à ce moment les noms de guerre de Paul Rabaut.