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chapitre xlii.

que son pla reposat. Vayne vn pauc qui te posar com ïou, puesse truqueren.[1] Auecques l’oubliance de sa perte il auoit perdu l’enuie de combatre. Somme, en lieu de se batre, & soy par aduenture entretuer, ilz allerent boyre ensemble, chascun sus son espée. Le sommeil auoit faict ce bien, & pacifié la flagrante fureur des deux bons champions. Là compete le mot doré de Ioan. And. in. c. vit. de sent. & re iudic. libro sexto. Sedendo & quiescendo sit anima prudens.[2]


  1. « Hé pauvret, je t’échinerais maintenant que je suis bien reposé. Va-t’en un peu te reposer comme moi, puis nous nous battrons. »
  2. « L’arrêt et le repos rendent l’âme prudente. »