Page:Rachilde - Le Démon de l’absurde, 1894.djvu/18

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brumes tristes ; ce nuage léger qui fuit l’aurore s’en va loin, n’importe ou, pleurer sur des montagnes inconnues toutes les misères dont il est plein…
Les voilà, sortant du champ de bataille, les fumées désespérées, faites d’âcres senteurs de poudre, blanches, à reflets écarlates,