i,c LES PLAIDEURS:
L E A N D R. E.
ilon père , cveillez-vous.
PetitJean.
Monfieur , êtes- vous mort î
L E A N D R E.
>ïor\ père.
D A N D I N.
Hé bien , hc bien ? Quoi f Qu'efl-ce ? Ah , ah , quel homme î Certes , je n'ai jamais dormi d'un fi bon fommc,
L E A N D R E.
Mon père , il faut juger.
D A N D r N.
Aux galères.
L E A N D R. E.
Un chien Aux galères?
D A N D I N.
Ma foi , je n'y connois plus rien. De monde j de cahos , j'ai la tête troublée. Hé , concluez.
f 1 H r 1 M i lui préfentant des petirs chiens. Venez, famille défolée; Venez, pauvres enfans, qu'on veut rendre orphelins , Venez faire parler vos efprits enfantins. Oui , Meffieurs , vous voyez ici notre misère. Nous fommes orphelins , rendez-nous notre père , Notre père , par qui nous fumes engendrés , Notre père , qui nous . . .
D A N I N.
Tirez, tirez , tirez.
l' I N T I M É.
Notre pcrc , Meflîeurs...
D A N D I N.
Tirez donc. Quels vacannes î Ils ont pifle par-tout.
t' I N T I M É.
Monficur , voyez nos larmts.
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