Page:Racine Théâtre Barbou 1760 tome3.djvu/174

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

iS6 ŒUVRES

��V I.

Sur la même Tragédie.

v> B ÉQUI prétend qu'Orefte eft un pauvre homme, Qui foutient mal le rang d'ambafladeur ; Et Crequi de ce rang connoit bien la fplendeur : Si quelqu'un l'entend xiûeux j je Tirai dire à Rome.

��V I I.

Sur la Judith de Boyer.

/^ SA Judith, Boyer, paravanture, Etoit alfis près d'un riche caiflier , Bien-aife étoit, car le bon financier S'attendrifloit de pleuroit fans mefurc. Bon gré vous fais , lui dit le vieux rimeur , Le beau vous touche , & ne feriez d'humeur A vous faifîr pour une baliverne. Lors le richard , en larmoyant , lui dit : Je pleure hélas , pour ce pauvre Holofernc , Si méchamment mis à mort par Judith !

��VIII.

JJorlpne des Sifflets,

V^ E s jours pafTés , chez un vieil hiftrioilji Un chroniqueur émut la queftion. Quand dans Paris commença la méthode Pe ces fifflets <^ui font x,^ïii i la mode.

�� �