Page:Racine Théâtre Barbou 1760 tome3.djvu/175

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DIVERSES. i€j

Ce fut , dit l'un , aux pièces de Boyer,

liens pour Pradon voulurent parier.

ion , dit l'adcur , je fais toute l'hiftoire ,

>ue par degrés )e vais vous débrouiller.

ioyer apprit au parterre à bâiller.

jouant à Pradon , Ci j'ai bonne mémoire p

j'ommes fur lui volèrent largement î

lais quand fifflets prirent commencement ,

l'elt , ( j'y jouois , j'en fuis témoin fidèle )

?dl à l'AJpar * du lieur de F * * *

��I IX.

Sur les complîmens que le Roi reçut au Jujet de fa coiivalefceiue. r^ IJTrakp Dieu , çonfervc-nous ce roi viûoricux

Que tu viens de rendre à nos larmes. ais durer à jamais des jours lî précieux : Que ce foient là nos dernières allarmes.

Empêche d'aller jufqu'à lui Le noir chagrin , le dangereux ennui , Toute langueur , toute fièvre ennemie , Et les vers de l'académie.

  • Cette tragédie fut jouée en î6So. Elle n'eut que
ois repréfentations. L'auteur ne l'a point fait im-

' rimer.

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