Page:Rambaud, Histoire des doctrines économiques, 1909.djvu/334

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gérations et des erreurs qu’on peut mêler à ses vérités. Elle ne fournit pas de justifications, ni même d’excuses, aux hommes cupides qui lui demandent de couvrir une conduite que la morale se refuserait à absoudre ; et l’ignorance ou la mauvaise foi peuvent seules expliquer qu’on l’ait accusée elle-même d’avoir inspiré ou encouragé cette conduite par l’organe de ses maîtres les plus éminents. Tout ce que nous venons de dire de ceux-ci doit suffire à le prouver.