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Page:Ramond - Élégies.djvu/7

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Je vois dans l'avenir un tems où nous seront plus éloignés. Mais si mes vers atteignent votre demeure, ils porteront toujours une empreinte qui les fera reconnaître. Parmi les chants capiricieux de ma muse, vous trouverez des souvenirs. Pardon, Sophie : j'aimerai à vous les rappeller ; car tout souvenir est doux, même celui qui est triste.

De ****