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le quittoient point, ne cherchent à le consoler qu’en pleurant avec lui : les discours ne guérissent point la douleur ; l’amitié ne soulage les peines qu’en les partageant.
Après un long abbattement, Cyrus retourna voir Zoroastre qui avoit autrefois éprouvé un malheur semblable au sien ; la conversation de ce grand homme contribua beaucoup à adoucir ses peines, mais elles ne se dissiperent que peu-à-peu par les voyages qu’il continua pendant quelques années.